À Brazzaville, en République du Congo, le salon Osiane (Salon International des Technologies de l’Information et de l’Innovation) a réuni des acteurs africains du numérique, des chefs d’entreprise, de jeunes start-up ainsi que des responsables politiques entre le 26 et le 30 avril.
Pour cette édition, la sixième depuis 2017, les ministres de l’Économie numérique du Gabon, du Burundi et de la République démocratique du Congo se sont joints à leur homologue congolais, Léon Juste Ibombo, pour échanger autour de l’innovation technologique, des défis et des opportunités du numérique pour l’Afrique Centrale. Etaient également présents l’ancien Premier ministre du Mali Cheik Modibo Diarra et plusieurs ministres du gouvernement congolais d’Anatole Collinet Makosso.
Toujours tourné vers l’innovation et le développement de l’Afrique, le Groupe AGS ne pouvait pas rater cet événement. Une grande première pour l’agence congolaise. L’occasion pour l’équipe de présenter en détail les différentes activités du Groupe et notamment l’archivage et la relocation.
L’équipe disposait d’un stand aux couleurs d’AGS, qui a attiré de nombreuses entreprises privées (Congo Telecom, X-OIL, Airtel Money) et des représentants de ministères (ministère des Finances, ministère de la Fonction publique, Agence congolaise pour l’emploi…).
Des besoins en archivage importants dans le pays
« Les échanges ont été intéressants et ont montré qu’AGS est connu dans le pays pour le déménagement, moins pour l’archivage et la relocation, » souligne Amina-Sarah Moussa, Business Developpment Manager d’AGS République du Congo-Brazzaville. « Notre présence sur le salon nous a permis de multiplier les prises de contact et d’être référencés naturellement dans l’annuaire des entreprises du numérique ».
L’archivage au Congo constitue un véritable challenge pour de nombreuses entreprises et administrations. Et pour cause : les besoins d’externalisation, de numérisation et de classification de toutes sortes de documents (bulletins de salaire, actes de naissance, documents bancaires…) sont énormes. « Les opportunités sont nombreuses pour AGS, » souligne Amina-Sarah Moussa. « Et ce type d’événements constituent de vraies opportunités de business, d’autant plus au Congo où le relationnel a une vraie importance ».
Une meilleure connaissance du secteur numérique au Congo
En marge des discussions avec de futurs clients, l’équipe a assisté à une partie des conférences du salon. Ont notamment été abordés les politiques et programmes mis en place par les gouvernements d’Afrique Centrale et les institutions internationales dans le cadre de la transformation numérique. L’impact du numérique sur le continent africain a été largement détaillé, ainsi que ses répercussions sur les différents métiers de cette région d’Afrique (professions libérales, justice, développement durable, cybersécurité…). « Tous ces ateliers nous ont permis de mieux connaître le marché numérique et de pouvoir prospecter sur le long terme avec une vraie compréhension des enjeux juridiques et financiers de la numérisation en Afrique Centrale », assure Amina-Sarah Moussa.
La Banque mondiale, présente sur le salon, a abordé le processus de transformation digitale du Congo et les questions de financement. La présence de cette institution a constitué un vrai atout pour AGS. Un appel d’offres sur la dématérialisation des administrations publiques est en effet prévu très prochainement. L’équipe AGS va se positionner pour y répondre.
AGS possède deux agences au Congo, l’une à Brazzaville, l’autre à Pointe Noire. Au total, le Groupe affiche une capacité de 40 000 conteneurs de 30 litres en matière d’archivage.
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